Le Pixel 10 est le modèle le plus orienté vers la photographie parmi les quatre smartphones de ce comparatif, et ce principalement grâce à son approche logicielle.
En effet, fidèle à la philosophie de Google, il mise sur des capteurs polyvalents complétés par des algorithmes de traitement avancés en imagerie computationnelle. Cette approche permet d’optimiser les détails, la balance des blancs et la gestion des contrastes, y compris dans des conditions lumineuses complexes. Rappelons qu’il est équipé d’un capteur principal de 48 mégapixels accompagné d’un ultra grand-angle 13 mégapixels et d’un téléobjectif de 10,8 mégapixels, chacun optimisé par le traitement logiciel maison. Ce trio est logé dans la barre horizontale caractéristique des modèles Pixel, offrant une identité visuelle immédiatement reconnaissable.
Google mise moins sur la multiplication des mégapixels que sur la qualité des algorithmes de traitement : gestion avancée du HDR, mode nuit particulièrement efficace et portraits précis avec un détourage naturel.
En façade, le Pixel 10 intègre un capteur à selfie de 10,5 mégapixels conçu pour exploiter également les améliorations logicielles, garantissant des clichés nets et équilibrés dans la plupart des conditions lumineuses.

Et les autres appareils ?
En comparaison, le OnePlus 13 mise sur une configuration matérielle particulièrement solide avec trois capteurs de 50 mégapixels (grand-angle, périscope téléobjectif et ultra grand-angle), conçus en partenariat avec Hasselblad. Cet ensemble se distingue par sa polyvalence optique et ses modes spécifiques, notamment pour le rendu des couleurs.
Le Galaxy S25 adopte une formule plus classique avec un trio comprenant un grand-angle de 50 mégapixels, un téléobjectif de 10 mégapixels avec zoom optique x3 et un ultra grand-angle de 12 mégapixels, un choix équilibré mais plus limité.

Enfin, l’iPhone 17 conserve une double configuration de 48 mégapixels (grand-angle et ultra grand-angle), dont la force repose sur la régularité du rendu et l’intégration logicielle via iOS. Pour les selfies, le Pixel 10 met également en avant un capteur optimisé par IA, face aux 32 mégapixels du OnePlus 13, aux 12 mégapixels du Galaxy S25 et aux 18 mégapixels de l’iPhone 17 couplés à Face ID. Ainsi, si l’on cherche la meilleure qualité pure en photographie mobile, le Pixel 10 garde l’avantage grâce à sa maîtrise logicielle, tandis que le OnePlus 13 offre la configuration optique la plus complète pour ceux qui privilégient la variété des usages.

Quel bilan face à la concurrence ?
Si l’on classe les quatre modèles uniquement à l’aune de leurs capacités photographiques, le Google Pixel 10 s’impose en première position. Il ne doit pas ce statut à une accumulation de capteurs, mais à la maîtrise de l’imagerie computationnelle développée par Google. Le traitement logiciel avancé, l’optimisation du rendu HDR et la précision des portraits lui permettent de produire des clichés équilibrés dans presque toutes les situations, y compris en basse lumière.
En seconde position, le OnePlus 13 séduit par son trio de capteurs de 50 mégapixels, couvrant grand-angle, ultra grand-angle et téléobjectif périscope. Son partenariat avec Hasselblad assure une calibration des couleurs fidèle et une vraie polyvalence optique, particulièrement appréciée par les utilisateurs exigeants en photographie créative.

L’iPhone 17 occupe la troisième place : avec seulement deux capteurs arrière, il propose une expérience photographique plus simple, mais toujours fiable et cohérente, notamment grâce à l’intégration logicielle et à la capture vidéo Dolby Vision.
Enfin, Le Samsung Galaxy S25 avec ses trois capteurs propose des résultats équilibrés, mais ses performances en basse luminosité dépendent davantage de l’optimisation logicielle.